Tout d'abord sont présentées, à travers une vidéo, des explications sur la vie du ver à soie : son élevage, ses métamorphoses, les cocons, la production du fil et sa mise en "flottes". La préparation au tissage : dévidage, cannetage et ourdissage. Pour le travail du fil, sont présentés de très anciennes machines à pédales, pour le « dévidage »,c’est-à-dire la mise du fil de la flotte sur bobines (ou roquet), lesquels serviront aux éléments du tissu : la chaîne et la trame. La trame, c'est la cannette, d'abord réalisée à la main sur un rouet, puis avec une "cannetière à pédales de 16 broches Nous arrivons alors à l'évolution de ces machines vers le matériel à moteur La préparation de la chaine : l'ourdissage La création de la chaîne se fait sur un ourdissoir, composé de deux éléments: "un cantre" de 150 bobines et un tambour de quatre mètres de circonférence, sur lequel s'enroulent les fils. Toutes ces machines fonctionnent. La chaîne passe ensuite au "remettage" ou au tordage sur le métier afin d'assembler la nouvelle chaine à l'ancienne Le tissage à bras et mécanique Quatre métiers à bras (entièrement en bois et d'origine) sont en état de marche et leur fonctionnement est expliqué. L'un des métiers est équipé d'une mécanique également en bois, appelée ratière et sur laquelle des "armures programmées" commandent la fabrication de tissus tels que: satins, sergés ou armurés. Enfin, trois métiers mécaniques de l'époque 1920, sont fonctionnels et les visiteurs, peuvent là aussi, voir "passer la navette", permettant ainsi la réalisation de dessins extrêmement variés.
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